Aux étudiants vivants, à ceux tués, blessés et torturés, le mois dernier à Addis Abeba.
Le bruit des armes couvre les cris,
celui des larmes le chant de l'espoir évanoui,
pendant que celui des pierres,
auquel se mêle celui des mères,
monte vibrant dans la lumière.
Mellan akuten och kliniken
Il y a 2 heures
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